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Pendant ce temps, à la FEPEM

la FEPEM a déclaré jeudi 25 novembre pendant la conférence des services à domicile qui avait lieu dans le 15e arrondissement, dans la capitale ,étant donné l'annulation des réductions de cotisations sociales des employeurs particuliers, éntérinée au parlement par les représentants du peuplequ'elle réservait sa signature à un accord syndical.


Au cours du vote de la loi de finance 2011, la majorité des élus a voté la fin de l'abattement de 15% sur les cotisations de Sécurité sociale (retraites, couvertures maladie, etc.) conçu pour les particuliers qui préfèrent déclarer leur salarié à la personne avec un vrai salaire (et non de façon forfaitaire, calculée en se basant sur le revenu minimum ).

Suivant l'accord syndical qui concerne le million et demi de salariés des particuliers, la Fepem a participé à un accord au mois de mai avec des partenaires sociaux à propos de l'élaboration de nouvelles classifications de métiers et de nouvelles grilles salariales, qui était parti pour parvenir dans l'ensemble à une augmentation de 5 pourcents des minima de salaire, en plus de hausses de 3 et 4 % pour ce qui concerne une partie des certifications professionnelles.

DES CONDITIONS DE TRAVAIL MOINS FAVORABLES AUX SALARIES



Selon Denis Raguet (FO), les particuliers employeurs vont ,soit préférer du travail au noir ,soit proposer une plus petite quantité d'heures auprès de leurs employés . Selon Gérard Sauty (CFTC), l'arrêt de l'abattement va avoir pour l'essentiel des conséquences pour les salariés. Tandis qu'avec la déduction , environ les deux tiers des employeurs particuliers ont préféré régulariser leurs employés au salaire réel, on va encourager les employeurs à choisir la déclaration sur la base du revenu minimal, regrette-t-il. "C'est l'unique secteur où le montant de la retraite pour un employé peut être calculée sur la base du minimum salarial, même s'il a gagné un montant supérieur", se lamente-t-il, alors même qu'il a affirmé son désaccord avec le choix la Fédération des particuliers employeurs de suspendre sa signature.

Toutefois devant la suppression des déductions de charges patronales etablise par le Parlement, "nous nous voyons forcés de retenir la participation à cet accord", a affirmé Marie-Béatrice Levaux, présidente de la Fepem. D'après elle, la suppression de l'exonération fiscale sera responsable de, début 2012 "une progression de 12 pourcent du coût de l'heure déclarée par les particuliers employeurs". "Quand pourtant l'on se réunit sur les budgets nécessaires pour financer la augmentation du nombre de personnes dépendantes, il est désespérant de modifier le cadre à mi-chemin", a-t-elle souligné, déclarant que cette nouvelle done sera aussi une des sources des pertes d'emplois. "Nous ne pouvons pas nous permettre d'infliger de nouvelles augmentations supplémentaires", a-t-elle justifié.

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